Tout savoir sur la retraite des anesthésistes

La retraite des anesthésistes est un domaine particulièrement complexe et varié qui nécessite une compréhension approfondie pour une optimisation efficace. Les choix de carrière, que ces professionnels de santé optent pour la pratique indépendante, l’emploi dans des structures publiques ou privées, ou une combinaison des deux, influencent significativement la gestion de leur retraite. 

Ces décisions de carrière déterminent le ou les régimes auxquels ils cotisent et les bénéfices qu’ils peuvent en tirer. On comprend dès lors pourquoi il est nécessaire de se tourner vers une stratégie de planification personnalisée. 

neovia se distingue par son approche sur mesure. Nos collaborateurs élaborent des stratégies de retraite adaptées spécifiquement aux besoins uniques des médecins anesthésistes. Plus encore, notre expertise s’étend au-delà des conseils génériques : nous tenons à offrir un accompagnement détaillé qui permet à chaque anesthésiste de naviguer avec assurance dans le réseau complexe des options de retraite. Nous vous aidons à déchiffrer et à maximiser vos droits à la retraite, assurant ainsi que la transition vers cette nouvelle phase de vie soit aussi enrichissante et sécurisée que possible. Si vous souhaitez en savoir plus sur la retraite des anesthésistes, suivez le guide !

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Tout savoir sur la retraite d’un psychologue libéral

La retraite d’un psychologue libéral se distingue principalement de celle des psychiatres par son système de gestion, assuré par la Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d’Assurance Vieillesse (CIPAV), contrairement aux psychiatres qui sont souvent affiliés à aux régimes propres aux professions médicales. Les psychologues, comme tous les professionnels exerçant en profession libérale, accumulent des points de retraite qui déterminent le montant de leur pension selon leur revenu déclaré, à travers un régime de base et un régime complémentaire. 

Face aux défis de la planification de retraite dans un contexte économique fluctuant, l’expertise de neovia se révèle indispensable. neovia offre une assistance personnalisée pour vous aider à naviguer à travers ces complexités. Nous avons pour but d’offrir une transition vers la retraite aussi fluide et avantageuse que possible pour l’ensemble des psychologues libéraux.

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Tout savoir sur la retraite progressive en 2024

Lorsque vous approchez de la fin de votre carrière, vous pouvez avoir envie de diminuer votre activité professionnelle sans pour autant réduire de façon drastique vos revenus. C’est ce que permet de faire précisément la retraite progressive : réduire votre activité et cumuler votre salaire à temps partiel avec une partie de vos retraites. Ce cumul peut aussi se faire sans réduction d’activité si vous êtes déjà à temps partiel ! Envie d’en savoir plus ? Nous vous expliquons tout.

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Tout savoir sur la retraite anticipée en 2024

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Retraite du dentiste libéral : vue d’ensemble

Pour préparer sa retraite, un dentiste libéral doit comprendre les divers régimes de retraite auxquels les dentistes sont affiliés tout au long de leur carrière. En France, les chirurgiens-dentistes bénéficient d’un système de retraite qui inclut un régime de base, un régime complémentaire et des régimes supplémentaires, garantissant ainsi divers niveaux de sécurité financière à la retraite. Faisons le point sur tous vos droits.

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La retraite des notaires : tout ce que vous devez savoir

La planification de la retraite pour un notaire requiert une compréhension approfondie des spécificités de leur régime de retraite. Il implique deux régimes distincts : un régime de base géré par la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse des Professions Libérales (CNAVPL) et un régime complémentaire spécifique, la Caisse de prévoyance et de retraite des Notaires (CPRN). 

Cet article a pour but de fournir un aperçu détaillé du système de retraite pour les notaires, en traitant notamment du calcul de la pension, de l’âge de départ, et des démarches à effectuer pour la demande de retraite complémentaire.

 

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Majoration pour enfant, enfin les mêmes droits pour les professionnels libéraux

Une majoration de pension de 10 % est accordée aux retraités qui ont eu ou élevé, pendant 9 ans avant l’âge de 16 ans, au moins 3 enfants.

Qui peut en bénéficier ?

La réforme des retraites du 14 avril 2023 ouvre le bénéfice d’une telle majoration aux retraités des régimes des professions libérales, avocats compris, qui en étaient jusqu’alors privés.

Pour compléter cette information, découvrez la majoration de trimestres pour enfants avec notre article dédié 

A partir de quand ?

Cette majoration sera ainsi attribuée aux pensionnés dont la retraite est liquidée à compter du 1er septembre 2023 et qui remplissent les conditions pour y prétendre.

Quelles démarches prévoir ?

Vous bénéficiez automatiquement de cette majoration dans les deux cas suivants :

  1. Vous êtes le parent biologique de ces 3 enfants, ou
  2. Vous avez été marié avec le parent de l’enfant qui en avait la charge pendant 9 ans avant leur 16ème anniversaire.

Si vous n’êtes pas dans l’un de ces deux cas, il vous appartient alors de démontrer que les 3 enfants ont été à votre charge pendant ces 9 ans avant leurs 16 ans.

 

Une question sur votre retraite ? Nos experts retraite sont là pour faire un audit complet de votre carrière et procéder à un calcul exact de l’intégralité de vos pensions de retraite afin de vous conseiller au mieux sur vos choix. N’hésitez pas à faire appel à eux !

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Santé : quels sont vos droits au moment du départ à la retraite ?

4 infos à retenir :  

Si vous n’avez relevé que du Régime Général : 

Si vous n’avez relevé dans votre carrière que du Régime Général, les choses se passent très simplement : la CARSAT (Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé Au Travail) dont vous relevez transmettra automatiquement l’information de votre départ à la retraite à la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie). 

Ainsi, aucune démarche n’est à effectuer, si ce n’est la mise à jour de votre carte vitale. 

A savoir: Cela fonctionne aussi si vous ne percevez qu’une pension de réversion (pension du conjoint survivant).  

Si vous êtes polypensionné : 

Si vous êtes polypensionné, c’est-à-dire si vous avez relevé au cours de votre carrière de plusieurs régimes de base, le régime prenant en charge vos frais de santé sera votre dernier régime d’affiliation. Encore une fois, aucune démarche ne sera à effectuer, votre CARSAT le notifiera automatiquement à votre caisse d’assurance maladie. 

Vous disposez cependant d’un droit d’option si vous souhaitez qu’un autre régime, duquel vous avez relevé durant votre carrière, prenne en charge vos frais de santé. Dans ce cas, un formulaire CERFA « Droit d’option auprès du régime compétent », téléchargeable sur le site Ameli, doit être renvoyé à la caisse d’assurance maladie de votre lieu de résidence.  

Attention, il existe des exceptions à ce droit d’option : 

Si vous êtes expatrié : 

En cas d’expatriation, vous devez prévenir votre caisse d’assurance maladie et votre caisse de retraite au moment de votre départ en leur communiquant votre adresse de résidence. 

Si vous êtes expatrié dans un Etat membre de l’Union européenne, de l’Espace économique européen, en Suisse ou au Royaume-Uni, vous devez vous inscrire, à l’aide du formulaire E 121/S1 (à demander à votre caisse de retraite), auprès de l’assurance maladie de votre lieu de résidence. Cela permettra la prise en charge de l’intégralité de vos frais de santé selon la législation du pays. En revanche, lors de vos séjours en France, la caisse d’assurance maladie française restera compétente.  

A savoir : si vous percevez également une pension de retraite du pays dans lequel vous séjournez, vos dépenses de soins sont prises entièrement en charge par votre Etat de résidence. 

Si vous êtes expatrié dans un Etat hors Union européenne, Espace économique européen, Suisse ou Royaume-Uni, il faut que vous vérifiiez s’il existe un accord bilatéral avec ce pays pour vous permettre de bénéficier du remboursement de vos frais de santé par l’Etat de résidence. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez adhérer à la Caisse des Français de l’Etranger ou souscrire un contrat d’assurance privé.  

Concernant la prise en charge de vos soins lors de vos séjours temporaires en France, vous devez vous inscrire auprès du Centre national des retraites de France à l’étranger (Cnarefe) pour être pris en charge par l’assurance maladie. 

À lire aussi : Préparer sa retraite en tant qu’expatrié

Pour aller plus loin :

La portabilité des mutuelles d’entreprise : 

Depuis la loi Evin en 2016 qui a instauré une mutuelle obligatoire en entreprise, il existe le principe de portabilité : vous pouvez, si vous le souhaitez, conserver votre mutuelle d’entreprise lors de votre départ à la retraite. 

Attention cependant : la portabilité est individuelle. Ainsi, la mutuelle peut refuser la poursuite de sa couverture santé à vos ayants droits. En outre, le coût de la mutuelle sera entièrement à votre charge, votre ancien employeur n’ayant plus l’obligation d’en supporter partiellement la charge.   

 

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Tout savoir sur la retraite si vous êtes né AVANT le 1er septembre 1961

3 infos à retenir : 

Vous êtes né.e après le 1er septembre 1961 ? Découvrez notre article dédié !

Age légal, durée d’assurance et âge du taux plein 

Si vous êtes né avant le 1er septembre 1961, la législation d’avant réforme des retraites de 2023 s’applique à vous. Ainsi, l’âge légal de la retraite est toujours 62 ans : vous pouvez demander vos retraites dès vos 62 ans, et la surcote en cas de poursuite d’activité s’applique également à partir de vos 62 ans si vous avez le taux plein à cet âge.  

La duré d’assurance requise en fonction de l’année de naissance est la suivante : 

Année de naissance  Nombre de trimestres requis 
Entre 1955 et 1957  166 
Entre 1958 et 1960  167 
Entre le 1er janvier et le 31 août 1961  168 

 

L’âge du taux plein est 67 ans. Ainsi, si à 67 ans vous n’avez toujours pas atteint le nombre de trimestres requis pour obtenir le taux plein, vous aurez automatiquement le taux plein sur vos retraites.  

Trimestres cotisés, trimestres assimilés 

Vous pouvez acquérir des trimestres de différentes manières : 

Rachat de trimestres 

Si vous n’avez pas assez de trimestres pour partir à taux plein, vous pouvez toujours racheter des trimestres auprès des caisses de retraite.  

Il existe différents types de rachat de trimestre, le plus courant étant le Versement Pour La Retraite. Il est limité à 12 trimestres au total, et peut se faire à deux titres : 

Il existe également d’autres types de rachat plus spécifiques, tels que le rachat Madelin, le rachat des périodes d’apprentissage… 

 > Découvrez notre étude de cas client sur le rachat de trimestres

Carrières longues 

Vous pouvez partir en retraite anticipée au titre des carrières longues dès 60 ans si vous avez validé au moins 5 trimestres avant la fin de l’année de vos 20 ans (ou 4 trimestres si vous êtes né durant le dernier trimestre civil de l’année), et si vous avez cotisé un nombre suffisant de trimestres.  

Ce nombre de trimestres est variable en fonction de l’année de naissance.  

Année de naissance  Durée cotisée 
Entre 1955 et 1957  166 
Entre 1958 et 1960  167 
Entre le 1er janvier et le 31 août 1961  168 

Les trimestres considérés comme étant des trimestres cotisés sont les trimestres obtenus au titre : 

Ainsi, ne sont pas considérés comme cotisés les trimestres au titre : 

Retraite progressive 

Si vous souhaitez réduire votre temps de travail en fin de carrière, et que vous souhaitez continuer à acquérir des trimestres, vous pouvez opter pour la retraite progressive.  

Ainsi, passé 60 ans, vous avez la possibilité de demander à travailler de 40 à 80 % de la durée applicable dans l’entreprise, et de bénéficier de la fraction de retraite restante, tout en continuant à cotiser pour votre retraite. 

Puis, lors de la cessation définitive de votre activité et de la liquidation totale de vos pensions, les droits acquis depuis le début de la retraite progressive viendront compléter le calcul de votre pension.  

Majorations pour enfants 

Si vous avez eu trois enfants ou plus, une majoration pour enfants de 10 % ou plus, en fonction de vos caisses de retraite, peut s’appliquer pour certains régimes de retraite. 

Par ailleurs, les femmes ayant eu des enfants bénéficient d’une majoration de durée d’assurance de quatre trimestres pour la naissance et quatre trimestres pour l’éducation de leur enfant. Les quatre derniers trimestres peuvent être répartis à la convenance des parents entre le père et la mère pour les enfants nés après le 1er janvier 2010.  

Pour les régimes spéciaux dont la Fonction publique, cette majoration est ramenée à une année de bonification.   

 Cumul emploi-retraite 

Vous pouvez poursuivre votre activité tout en percevant vos pensions de retraite : il s’agit du cumul emploi-retraite. Les conditions de ce cumul sont différentes si vous liquidez vos retraites à taux plein, en carrières longues ou à taux minoré.  

Cumul emploi-retraite plafonné 

Le cumul emploi-retraite plafonné s’applique si vous liquidez vos retraites de façon anticipée au titre des carrières longues, ou si vous liquidez vos retraites à taux minoré (sans avoir atteint le nombre de trimestres requis). Dans ce cas, vous devez respecter un plafond de revenus qui diffère en fonction de la caisse à laquelle vous êtes affilié (lien vers article détaillé). Ce plafond est maintenu jusqu’à vos 62 ans en cas de carrière longue, ou jusqu’à vos 67 ans en cas de retraite à taux minoré.  

Par ailleurs, si vous êtes salarié, vous êtes tenu de respecter un délai de carence de 6 mois avant de reprendre une activité chez le même employeur.  

Certaines caisses, comme la CNBF (caisse de retraite des avocats libéraux) ne permettent pas le cumul emploi-retraite plafonné.  

Cumul emploi-retraite libéralisé 

Le cumul emploi-retraite libéralisé s’applique si vous liquidez vos retraites à taux plein à partir de 62 ans. Dans ce cas, vous n’avez aucun plafond de revenus à respecter, vous pouvez tout à fait cumuler vos revenus d’activité et vos pensions de retraite sans aucune contrainte.  

Là encore, certaines caisses de retraite appliquent des conditions particulières pour le cumul emploi-retraite libéralisé. 

Ainsi, si vous souhaitez poursuivre votre activité tout en liquidant vos retraites, il est recommandé de vérifier les conditions de cumul emploi-retraite propres à votre ou vos caisse(s) d’affiliation avant d’effectuer les démarches. 

En cas de cumul emploi-retraite, les cotisations versées dans le cadre de votre activité professionnelle ne vous ouvrent aucun droit supplémentaire. Toutefois, la réforme Macron mentionne la possibilité d’acquérir de nouveaux droits pour les personnes en cumul emploi retraite libéralisé (et qui, pour les salariés, respectent la condition de non reprise d’activité chez le même employeur moins de six mois après la liquidation de leur pension) depuis le 1er janvier 2023. Des décrets devraient intervenir pour préciser les contours de l’acquisition d’une deuxième pension de retraite. 

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