Quel a été votre parcours professionnel ?
Je suis un ancien cadre supérieur de la société Schneider Electric. J’y ai fait toute ma carrière. J’ai occupé différents postes en France et à l’étranger, et le dernier, à la Direction Qualité Corporate du groupe.
J’avais pris la décision de partir à la retraite à 60 ans. J’ai commencé à travailler en 1973, après des études d’ingénieur, mon service militaire et un MBA. Au total, je réunissais donc 37 ans d’activité pendant lesquelles j’ai toujours relevé du régime des salariés, y compris lors de mes périodes d’activité à l’étranger. J’ai bénéficié d’un congé de fin de carrière pendant lequel j’ai cotisé. Il m’a permis de valider une année de plus. Il me manquait donc encore 8 trimestres pour avoir les 40 ans d’assurance nécessaire pour partir à la retraite à taux plein, en 2010. Mon service militaire me permettant de valider deux trimestres supplémentaires, j’ai étudié les possibilités de racheter les 6 trimestres manquants.
Quand avez-vous envisagé de vous adresser à NEOVIA ?
Mes collègues qui avaient pris leur retraite avant moi m’avaient fait part de leurs difficultés à reconstituer leur carrière, à faire valoir l’intégralité de leur droit. D’un autre côté, je gagnais bien ma vie, tout comme mon épouse pharmacienne et mes deux filles étaient financièrement autonomes. Mon état d’esprit était donc le suivant : je pouvais charger un prestataire de qualité de mon dossier retraite et être ainsi certain de ne perdre aucun droit en m’évitant tous les embarras administratifs. J’avais entendu parler de NEOVIA et au premier contact j’ai tout de suite accroché avec mon interlocuteur. Certes, j’avais eu une carrière linéaire dans une seule entreprise, mais tout n’est pas simple pour autant.
Quelles étaient précisément vos attentes ?
Tout d’abord savoir si mon projet de rachat de trimestres était pertinent. Après étude de mon dossier, mon conseiller retraite a validé mon choix. J’ai donc racheté 6 trimestres au titre de mes années d’études supérieures avec la 1ère option c’est-à-dire celle qui permet d’augmenter le taux de liquidation de la pension et dans mon cas d’atteindre le taux plein. C’était l’option la moins chère et la plus efficace.
Ensuite, me décharger de tous les aspects administratifs en ayant la garantie que tout serait bien fait. Je pouvais prétendre à trois retraites différentes : la retraite de base ainsi que la complémentaire Agirc-Arrco au titre de ma carrière dans le groupe Schneider mais aussi une retraite de l’Ircantec grâce à des cours du soir que j’ai donnés, pendant 10 ans, dans un lycée qui préparait des adultes au BTS. Le conseiller retraite a vérifié mon relevé de carrière, fait les démarches auprès des caisses, répondues à leur demande de renseignements. Tout s’est tellement bien passé, que naturellement, un an après, lorsque mon épouse a envisagé sa fin de carrière, nous nous sommes adressés à NEOVIA. Son dossier était autrement plus compliqué que le mien.
En quoi le parcours professionnel de votre épouse était-il complexe ?
Ma femme a été affiliée à différents régimes de retraite. Elle a relevé du régime général et de la complémentaire Agirc-Arrco pour la période où elle a été salariée : emploi à la faculté de médecine et de pharmacie, puis dans trois pharmacies. Elle a eu, ensuite, sa propre officine et a cotisé alors aux régimes de base et complémentaire des indépendants. A 59 ans, mon épouse a vendu la pharmacie et cessé de travailler. La question était de savoir, alors, à quel âge avait-elle intérêt à demander sa retraite complémentaire : dès 60 ans avec un abattement où à 65 ans avec un montant plus élevé ? NEOVIA a réalisé les différents scénarios possibles à l’aide de tableaux comparatifs. Cela a permis de faire le meilleur choix possible pour nous et d’optimiser sa retraite. Comme pour moi, sa carrière a été reconstituée par le conseiller retraite et vérifié.
J’ai confiance en NEOVIA et je suis très satisfait de mon expérience.
Comme Monsieur VACHER, déléguez la liquidation de vos retraites en toute sérénité avec NEOVIA!
Nous remercions Gérald VACHER pour son témoignage.